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« Atypique », « pas strictement clinicienne », « bienveillante et professionnelle » sont les premiers mots que l'on me prête en tant que psychologue-psychothérapeute.
Étudier la psychologie n’a pas été un choix : c’était une évidence, un besoin de comprendre le monde. Une belle rencontre, parce qu’il n’existe pas une psychologie mais plusieurs — et chacune déploie de multiples sous-disciplines. Notre société nous demande souvent de faire un choix, alors j’ai choisi… d’en faire plusieurs.
D’abord, la psychologie clinique pour acquérir les bases attendues d’un psychologue-psychothérapeute. Puis la psychologie sociale, parce que l’exploration de l’individu ne m’intéressait pas sans son environnement, ses interactions, ses appartenances. Et enfin la psychologie cognitive, pour saisir les mécanismes internes, les schémas de pensée, les encodages. Plus tard, j’ai découvert l’approche systémique, qui m’a permis de relier l’individu à ses systèmes familiaux, professionnels et sociaux.
Être psychologue-psychothérapeute ne se résume pas à un diplôme : il s’agit d’être prêt, d’engager sa propre identité professionnelle. C’est dans ce sens que j’ai construit mon parcours et mes influences afin de vous accueillir aujourd’hui au cabinet.