Embedded Files
NOUVEAU : Découvrez les consultations "Duo" à Cadaujac !
L'article de BFM d'aujourd'hui, disponible en bas du post, au-delà d’annoncer une éventuelle prise en charge de 3 séances chez un Psychologue (pour les étudiants), me permet de rebondir !
C'est de plus en plus d'actualité et surtout énoncé : la crise sanitaire touche les "actifs en devenir", que ce soit par l'isolement, les difficultés financières, difficultés de déplacement, le manque de contacts sociaux, d'interactions pleines (sans masque, tactiles, ...), et les "scolarisés" ont tout autant besoin de soutien psychologique, voire plus que leurs ainés.
Ces derniers sont habituellement considérés comme plus "armés" pour affronter les difficultés, mais le sont-ils réellement ? Cela reste une question qui pourra faire l’objet d’un prochain article.
Le bouleversement des mœurs inhérent à la COVID-19 a été brutal. L'être humain n'est pas constitué pour vivre isolé, dans la crainte de ce qu'il ne peut appréhender, sans repères.
C'est certainement l'un des plus gros enjeux de 2021 : trouver son équilibre avec de nouveaux repères, "changer d'angle" sans se référer à "l'avant COVID".
Les Psychologues ne dérogent pas à cela, mais ils sont formés et ont des outils pour accompagner la recherche d'équilibre, et surtout ils apportent une neutralité à vos paroles et vos ressentis.
Selon moi : le suivi psychologique n’est pas nécessairement un engagement sur 10 ans, il peut être une aide ponctuelle, récurrente, éphémère, durable. Le Psychologue préconise, le patient reste le décideur final. C’est une collaboration entre le patient et le Psychologue. Sans volonté et engagement mutuel, rien ne peut émerger. Alors oui, il serait bon de prendre en charge ces 3 séances, pour certains ce sera le début d’un travail, pour d’autres une prise en charge de secours, mais ce sera pour tous le début d’un mouvement vers quelque chose de différent.
Julie Hivert - 14 janvier 2021
Page updated
Google Sites
Report abuse